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Musique | “Consommons Guinéen”, l’artiste Barry 8 fait la promotion du SyliBeat !

Musique | “Consommons Guinéen”, l’artiste Barry 8 fait la promotion du SyliBeat !

Barry 8 était face à la presse pour la promotion du SyliBeat et son nouveau single intitulé “Consommons Guinéen”.

L’artiste Barry 8 a crée un nouveau genre musical 100 % made in Guinea qui s’appelle le SyliBeat. C’est un mélange de différentes sonorités traditionnelles guinéennes. Très dansant, le SyliBeat, n’a rien à envier au Mbalax ou à l’Amapiano.
C’est pour faire découvrir le SyliBeat aux Guinéens et au monde entier qu’il a tenu un point de presse ce lundi 26 septembre 2022 en compagnie de son équipe à Africa Dream de Lambanyi.
L’artiste en a profité pour annoncer officiellement son nouveau single, intitulé “Consommons Guinée”, qui est un morceau 100 % SyliBeat. La sortie officielle de ce tube est donc prévue le 28 septembre prochain sur toutes les plateformes légales.

Mais d’abord, qui est Barry 8 ?

À l’état civil Thierno Saidou Barry, plus connu sous le nom de scène “Barry 8”, est un artiste musicien, auteur, compositeur, chorégraphe et interprète qui fait partie des figures montantes du showbiz guinéen. Il a fait ses débuts dans la danse, puis il a fait la migration dans la musique. Au début, il ne faisait que du RnB et de la musique classique. De nos jours, il fait du SyliBeat, le genre musical dont il est géniteur.

Il nous explique ce qui l’a motivé à créer le SyliBeat dont il est aujourd’hui très fier :

« Un jour, il y a eu un déclic chez moi… Je me suis posé beaucoup de questions sur la musique guinéenne et sur l’identité culturelle des artistes guinéens. Sur ce, j’ai eu l’idée de “chercher” quelque chose qui manquait a cette musique. Parce que quand on plonge le regard sur la musique guinéenne, dans les années 1960, c’était à la hauteur dans concert des nations.
Je me suis dit, au lieu d’écouter les autres célébrités telles que Chris Brown ou Stevie Wonder, j’ai décidé d’écouter les Keletigui et ses tambourinis, Balla et ses balladins […].
Quand j’ai plongé mon regard dans les années 1960, je me suis dit “Mec, la Guinée est en train de perdre quelque chose !”. Et c’est là l’idée de la création d’un genre musical, proprement, purement et simplement guinéen, m’est venu à l’esprit. »

Une initiative à encourager.

Alpha Oumar Baldé

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